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Baptiste Delval, fondateur
Comment est né Musical Avenue ?
Musical Avenue, c’est le fruit de ma rencontre avec Pierre Stril et Guilain Roussel, deux amis avec qui je partage la passion du théâtre musical depuis plus de dix ans. Alors que les réseaux sociaux n’en étaient qu’à leurs balbutiements, nous avons voulu créer un site qui s’adresse autant aux fans du genre qu’au grand public, en réunissant actu, critiques, dossiers, interviews… Pendant près d’un an, nous avons testé notre idée à huis clos, sur une page web qui n’était accessible qu’à nous, avant d’oser la rendre publique.
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
C’est comme si le théâtre musical avait toujours été là. En prenant du recul, je repense à de multiples graines qui, au fur et à mesure, ont cultivé mon intérêt pour le genre : depuis Starmania, dont les chansons ont bercé mon enfance, au Rocky Horror Picture Show, découvert un soir d’Halloween lors d’un échange scolaire aux États-Unis, en passant par les grands spectacles du début des années 2000. Mais la véritable étincelle, ce fut le soir où mon meilleur ami m’a entraîné (contre mon grès) voir Mamma Mia! lors d’un voyage à Stockholm. Je n’ai bien évidemment rien compris à ce que je voyais, mais j’ai soudain eu le déclic : la rencontre de la musique, du théâtre, de la danse, d’une mise en scène joyeuse et colorée, ont allumé la flamme du musical qui depuis ne s’est jamais éteinte.
Ton souhait pour les 10 années à venir, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
C’est presque irréel de se dire que plus de dix années se sont écoulées ! Mais c’est surtout une immense fierté de voir que Musical Avenue a su fédérer des millions de lecteurs et toute une équipe de passionnés qui a aujourd’hui pris la relève de notre équipe fondatrice. Concernant le deuxième point, il m’est très difficile de me projeter dans les dix prochaines années. La décennie qui vient de s’écouler a été très riche en découvertes, spectacles sublimes, talent et joies. Mais elle a également eu son cortège de déceptions et d’interrogations. L’arrivée de Stage Entertainment en France n’a pas fait d’émules. Les grands spectacles made in Dove Attia, Albert Cohen ou Kamel Ouali ont disparu du paysage ces dernières années. Les tournées s’annulent (quand ce ne sont pas les spectacles annoncés qui ne voient jamais le jour). L’économie de la comédie musicale est aujourd’hui, encore plus qu’hier, très difficile. Et sans doute que tout un pan du métier a encore beaucoup à faire pour gagner en professionnalisme.
Tout récemment, l’exclusion de la comédie musicale du champs d’application du crédit d’impôt en faveur du spectacle vivant est une décision politique qui sera lourde de conséquences pour des spectacles existants ou en projet et pour lesquels les difficultés et obstacles sont déjà nombreux.
Mais on est en droit de garder espoir : le public français continue de s’initier au genre, particulièrement grâce au cinéma, ou lorsqu’il voyage dans les grandes capitales du musical. En France, les artistes de talent ont toujours été là, mais le vivier grandit de jour en jour. Et les institutions « sérieuses » que sont les opéras ou la Philharmonie de Paris s’intéressent de plus en plus au sujet. J’espère du fond du cœur que les Trophées de la Comédie Musicale, auxquels j’ai la chance de participer, contribueront à pérenniser cet élan et à donner au théâtre musical ses lettres de noblesse.
Stéphany Kong, présidente
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussée à rejoindre l’équipe ?
J’ai intégré Musical Avenue en 2009, après avoir remporté l’original concours « Casting & Cupcakes » qui permettait de gagner des invitations pour Casting – le musical avec un cupcake en dessert offert. J’y suis allée avec ma belle-sœur, Sophie, et nous avons rencontré Baptiste et Pierre – les fondateurs du site – à cette occasion. Ils nous ont alors proposé de rejoindre l’équipe, ce qui nous a bien motivées pour pouvoir partager notre passion avec d’autres que nous !
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Wicked, à Londres en 2008. Je faisais mes études à Manchester à l’époque, et je m’étais rendue à la capitale pour retrouver des amis et voir un concert. Ledit concert a été annulé à ma grande déception… en suivant les recommandations, je suis allée voir Wicked avec très peu d’attentes car je ne connaissais pas du tout. J’ai pris une claque ! Et depuis je suis devenue une vraie grande passionnée de comédies musicales.
Ton souhait pour les 10 années à venir, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Que l’art de la comédie musicale en France puisse être reconnu à sa juste valeur, avec une offre de plus en plus importante et des productions qui mettront les moyens requis pour continuer à nous faire rêver. Et que Musical Avenue reste un incontournable dans la promotion du genre et mise en lumière de nos talents !
Edmée Martin, rédactrice en chef
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussée à rejoindre l’équipe ?
J’ai intégré Musical Avenue en 2011. Je venais de voir une de mes premières comédies musicales et Samuel Sebban, un ami de ma sœur, rédacteur, m’a proposé d’écrire pour le site. L’idée de faire partie d’une équipe avec qui partager cette nouvelle passion, la partager également avec les lecteurs, renouer en quelque sorte avec mon amour de l’écriture sont des raisons qui m’ont poussée à accepter (et aussi le fait que je m’ennuyais au chômage).
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Le premier ? Sûrement « Les Rois du Monde », « Belle »… Le Roi Lion à Mogador, les après-midis pluvieuse à regarder Mamma Mia avec ma mère et mes sœurs. Mais là où tout a vraiment commencé : Casino de Paris, avril 2011, Hairspray. Il y en a eu plein d’autres ensuite : ma première interview pour Musical Avenue en binôme avec Romain Lambert, voir Roméo & Juliette sur scène, découvrir la comédie musicale à Broadway avec Wicked, être sans le faire exprès au milieu de Times Square devant la retransmission des Tony Awards et dernièrement, faire partie des fondateurs des Trophées de la Comédie Musicale. Des souvenirs marquants de la comédie musicale, il y a en a beaucoup trop pour n’en citer qu’un ! Et j’espère qu’il y en aura encore plein d’autres.
Ton souhait pour les 10 années à venir, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Je souhaiterais que dans les 10 ans à venir, Paris soit autant connu que Broadway et le West End pour la comédie musicale, que des créations françaises se jouent plusieurs saisons car le public ne trouvera plus ça autant ringard, qu’elles s’exportent outre-atlantique et outre-manche. Et bien sûr que Musical Avenue soit toujours présent ! Qu’il reste l’un des sites de référence dans le milieu, que l’ambiance soit toujours aussi agréable… et que la nouvelle équipe, si je n’en fais plus partie, pense à m’inviter à la fête des 20 ans !
Samuel Sebban, rédacteur
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussé à rejoindre l’équipe ?
J’ai rejoint Musical Avenue début 2009. Je tenais un blog sur lequel j’écrivais notamment sur les comédies musicales. J’ai été contacté par Baptiste et Pierre que j’ai rencontrés. Et je me suis dit que quitte à écrire, autant le faire avec des gens ! Mon arrivée a été la première de la toute première vague de recrutements.
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
J’ai toujours adoré le spectacle vivant, sans en avoir vraiment conscience. Je participais à un atelier de comédie musicale en école d’ingénieur (animé notamment par mes camarades de promotion Julien Salvia et Ludovic-Alexandre Vidal). Mais j’ai vraiment attrapé le virus de la comédie musicale avec la production de Chicago en 2004 en français au Casino de Paris. J’ai pris une énorme claque ce jour-là, et vécu une émotion que je n’avais jamais ressentie avant.
Ton souhait pour les 10 années à venir, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Pour les 10 ans à venir, j’espère que Musical Avenue continuera de grandir, avec plus de contenus, de média (vidéos). Et aussi davantage de productions de musicals en France, et donc plus de théâtres adaptés, plus d’orchestres live… Bref, que le musical devienne une économie florissante basée non pas sur le marketing, mais sur la qualité et l’adoption de ce style par un public moins consommateur et plus connaisseur.
Nathalie Katinakis, rédactrice
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussée à rejoindre l’équipe ?
J’ai rejoint Musical Avenue au mois de novembre 2011. Quelques mois plus tôt, j’avais créé un blog dédié aux comédies musicales. Puis, j’ai découvert le site web de Musical Avenue et j’ai voulu partager cette passion au sein d’une équipe plutôt qu’en solo de mon côté. Cela tombait bien, car il n’y avait encore aucun collaborateur au Canada. Baptiste et le reste de l’équipe ont voulu me donner ma chance et je leur en suis très reconnaissante. Depuis, je couvre dès que possible les actualités de Montréal et les spectacles du genre qui sont présentés dans la métropole québécoise. Un vrai bonheur !
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Enfant et adolescente dans les années 1980-1990, j’ai d’abord été initiée aux comédies musicales par des spectacles comme Starmania dont les tubes tournaient alors sans cesse à la radio et à la télé. Puis, au début des années 2000, je n’ai pas échappé à la frénésie de Notre-Dame de Paris , même si je n’ai eu la chance de voir le spectacle sur scène que récemment. Mais je dois dire que mon souvenir le plus marquant de comédie musicale est quand je suis allée voir Cats lors de sa tournée nord-américaine en 2010 à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts de Montréal. Un moment magique qui m’a indéniablement donné la piqûre !
Ton souhait pour les 10 années à venir, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Je souhaite que Musical Avenue continue de parler avec autant de passion des comédies musicales, poursuivant sa belle contribution au rayonnement du genre en France et à l’étranger. Je souhaite aussi que Montréal continue d’accueillir de beaux spectacles, mais aussi que les productions locales se développent encore davantage. Il y a beaucoup d’artistes de talent au Québec et malheureusement encore trop peu de productions chaque année où on a le bonheur de les voir sur scène.
Margot Capespine, rédactrice
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussée à rejoindre l’équipe ?
J’ai intégré l’équipe il y a six ans, au cours de l’été 2012. A l’époque j’étais déjà une lectrice assidue de Musical Avenue et une passionnée de ce qui se passait à Broadway. J’ai voulu rejoindre l’équipe pour partager encore plus d’actualités sur cet univers qui me passionnait… et pour enfin rencontrer des gens aussi obsédés que moi !
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Je suis arrivée à la comédie musicale en découvrant et me passionnant pour Marilyn Monroe, comme toutes les adolescentes de mon âge. Ainsi mon introduction au musical fut grâce aux films Le Milliardaire ou encore Les hommes préfèrent les blondes. Et le virus des films musicaux de l’âge d’or hollywoodien m’a piquée. Pou pou pi doo !
Ton souhait pour les 10 années à venir, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Comme le chante Patrick Bruel, je souhaite qu’on puisse se donner encore rendez-vous dans dix ans. Les journalistes/bloggueurs web spécialisés dans la comédie musicale sont majoritairement jeunes, j’ai hâte de nous voir à la fleur de l’âge partager ce même enthousiasme. Quant à la comédie musicale en France, je lui souhaite à la fois de trouver son rythme entre quantité et qualité, mais aussi de trouver un public qui n’aurait pas besoin de connaître le spectacle avant d’aller le voir, mais qui serait aussi prêt à acheter sa place pour des créations originales.
Romain Lambert, rédacteur
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussé à rejoindre l’équipe ?
J’ai intégré Musical Avenue en juin 2012. J’étais un petit lycéen vivant à Moulins sur Allier qui tenait un petit blog sur sa passion des comédies musicales (au lieu de réviser son bac). C’est à travers ce blog que Baptiste Delval m’a contacté, me proposant de rejoindre l’équipe. Musical Avenue faisait partie de mes sites de référence que je consultais régulièrement. J’ai immédiatement accepté la proposition.
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Mes premiers souvenirs marquants de comédie musicale sont surtout associés à des films. D’abord Peau d’âne quand j’étais tout petit, notamment la scène du Cake d’Amour (mais comment fait-elle pour se dédoubler?). Un peu plus tard, j’ai découvert la comédie musicale américaine en voyant Chicago au cinéma et ce fut un véritable coup de cœur. Par contre, ma mère s’en veut encore d’avoir amené un enfant de 8 ans voir ce film ! Puis j’ai découvert quelques années plus tard que la plupart de ces films que j’adorais étaient des spectacles à l’origine, et tout un monde merveilleux s’est offert à moi.
Ton souhait pour les 10 années à venir, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Je souhaite que l’on arrête de me citer le sketch de Gad Elmaleh dès que je dis que j’aime les comédies musicales ! Que cet art soit enfin reconnu à sa juste valeur en France. Que les projets ambitieux et novateurs se multiplient. Que Musical Avenue ne cesse de grandir et que le site continue à être une référence auprès d’adolescent.e.s auvergnat.e.s cherchant à s’informer sur le monde merveilleux de la comédie musicale.
Gabrielle Carayon, rédactrice
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussée à rejoindre l’équipe ?
J’ai rejoint l’équipe Musicale Avenue en 2015. Je venais de rentrer d’un an et demi à Londres où je m’étais nourrie de comédies musicales aussi souvent que je le pouvais. J’étais tellement fascinée par tous ces artistes talentueux qui chantaient, dansaient et jouaient la comédie merveilleusement bien, que petit à petit l’idée a germé d’écrire sur la comédie musicale une fois rentrée en France. Que ce soit des interviews d’artistes, des articles, des critiques de spectacle en créant mon propre site ou en intégrant une équipe, à l’époque, je ne savais pas encore vraiment la forme que prendrait ce projet. Quelques mois plus tard, à Paris, je suis tombée sur l’offre de Musical Avenue qui recherchait des chroniqueurs et je me souviens m’être dit « ça y est, c’est ça ! » et j’ai envoyé mon CV !
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Difficile ! J’ai plusieurs souvenirs qui me viennent à l’esprit. Je crois que le premier, c’est une comédie musicale à Londres lors d’un voyage linguistique en 2011, Billy Elliot au Victoria Theatre. J’avais été bluffée par les enfants, incroyablement doués et professionnels. C’était impressionnant ! A moins que ce ne soit Le Roi Soleil en 2005, j’ai passé mon été avec la chanson « Mon essentiel » dans les oreilles, j’avais 15 ans ! Et puis plus jeune, j’ai beaucoup regardé les films de la Metro-Goldwyn-Mayer, l’âge d’or d’Hollywood… An American in Paris, Singin’ in the rain, Top Hat, Gene Kelly, Fred Astaire… ma toute première introduction à l’univers de la comédie musicale grâce à ma mère et ma grand-mère.
Ton souhait pour les 10 années à venir, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Je souhaite que Musical Avenue continue de grandir, que l’équipe s’agrandisse et que l’on puisse continuer à promouvoir la comédie musicale sous toutes ses formes. En tant que site de référence, je pense que Musical Avenue doit aussi continuer de toujours plus valoriser et soutenir la création. Nous avons beaucoup de talents en France, ce n’est pas que l’apanage de Broadway ou du West End. J’espère aussi que la comédie musicale arrivera définitivement à se libérer des clichés qui l’entourent depuis longtemps et que le genre continuera à se professionnaliser. A l’image des Etats Unis et de l’Angleterre, cela serait fantastique dans les années à venir que l’on puisse offrir plus souvent la possibilité aux enfants de se former très jeune à la comédie musicale. Que ce soit grâce à des écoles spécialisées ou d’autres structures adaptées, il faut soutenir et encourager davantage le talent chez les enfants pour en faire des artistes complets une fois adultes. C’est ce que les américains et les anglo-saxons ont compris depuis longtemps et appellent la « triple threat », c’est-à-dire être aussi bon en danse, en chant et en théâtre. Je pense que c’est la clé si l’on souhaite que le genre continue d’évoluer et de se développer en France.
Marc Deren, rédacteur
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussé à rejoindre l’équipe ?
J’ai intégré Musical Avenue au printemps 2015 car je voulais partager ma passion pour la comédie musicale de façon plus active. J’étais un lecteur régulier du site, car j’en appréciais le contenu et la forme éditoriale. Quand Musical Avenue a cherché de nouveaux chroniqueurs, j’ai tout de suite sauté sur l’occasion.
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
La toute première comédie musicale que j’ai vue était Le Roi Lion en 1999 à New York, et je me souviens encore de cette représentation-là comme si c’était hier, un vrai choc émotionnel.
Ton souhait pour les 10 années à venir, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Je souhaite que Musical Avenue continue à fédérer à la fois les passionnés de la comédie musicale et un public plus large, que ce soit sur la comédie musicale en France ou à l’international comme c’est le cas dans la ligne éditoriale du site depuis le début. Mon souhait pour le milieu de la comédie musicale est de continuer à voir plus de spectacles émerger sur la scène française dans des natures différentes, comme cela a été le cas ces trois dernières années, avec des styles musicaux et des publics variés, et une part croissante pour la création française.
Thomas Berneuil, rédacteur
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussé à rejoindre l’équipe ?
Je suis encore un petit nouveau par rapport à certaines personnes de l’équipe. J’ai eu la chance d’intégrer Musical avenue il y a bientôt 3 ans (mon premier article date de mars 2016). Je lisais le site assidûment depuis des années, mais je n’avais jamais pensé passer de l’autre côté de l’écran. J’écrivais déjà pour mon propre plaisir des critiques de films ou de spectacle sur les réseaux sociaux, mais le fait d’être impliqué sérieusement pour le site aiguise la curiosité et nous force à aller au-delà de notre zone de confort. Cela a été une vraie motivation pour rejoindre cette formidable équipe.
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Il y a plusieurs souvenirs marquants qui je pense ont stimulé rapidement ma passion pour les comédies musicales. Le premier fut Cats que j’ai eu l’occasion de voir avec mes parents très jeune sur Paris. Cette ouverture avec ces notes uniques et reconnaissables entre 1000 ne m’ont jamais quitté, et j’ai vécu à nouveau cette même émotion en retournant le voir à Mogador il y a quelques années maintenant. Les premières des Dix commandements au Palais des Sports ainsi que Roméo & Juliette au Palais des Congrès n’ont fait qu’attiser davantage cette envie de découvrir encore plus de spectacles musicaux, jusqu’à mon premier show à Broadway : Chicago, en 2006 !
Ton souhait pour les 10 années à venir, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
J’aimerais que Paris se joigne à New York, Londres ou même Stuttgart et Hambourg pour nous présenter comme toutes ces villes de nombreuses productions de comédies musicales variées et de qualité sur plusieurs années. Espérons que Musical Avenue continue d’être une référence pour tous nos lecteurs passionnés et pour les petits nouveaux qui découvriront le genre pendant de nombreuses années. Longue vie à la comédie musicale !
Luce Delmotte, secrétaire et rédactrice
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussée à rejoindre l’équipe ?
J’ai rejoint l’équipe de Musical Avenue en décembre 2016. À l’époque, je tenais mon propre site de critiques de comédies musicales, plutôt centré autour des films musicaux, mais le travail en équipe me manquait, et l’idée de partager ma passion avec d’autres rédacteurs m’a beaucoup plu. J’ai alors contacté Musical Avenue, qui était pour moi le site de référence pour tout ce qui tournait autour de cet art qui nous est cher, et dès mon entretien avec l’équipe, j’étais convaincue d’avoir fait le bon choix !
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Ma première introduction à la comédie musicale s’est faite très jeune : je devais avoir 6 ou 7 ans, et à la maison, je tournais en boucle sur quatre cassettes VHS : Tom et Jerry, L’Homme au masque de fer (on ne juge pas !), et surtout Notre-Dame de Paris et Les Dix Commandements. À l’époque, j’habitais à l’étranger et ne réalisais même pas qu’il me serait un jour possible d’assister à des spectacles aussi incroyables « en vrai » ! Mais ces deux cassettes, combinées à celle de La Mélodie du Bonheur que je regardais l’été, chez ma grand-mère, ont fondamentalement déterminé mon rapport à la comédie musicale, et aux arts vivants en général. Et donc ma passion autant que mon métier !
Ton souhait pour les 10 années à venir, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Je souhaite à l’équipe de Musical Avenue de continuer à proposer des articles avec la qualité, la constance et la diversité qui la caractérise. Je nous souhaite de continuer à nous développer et à nous enrichir au contact les uns des autres. Nous venons de milieux et de parcours très différents, et avons tous un rapport très particulier et unique aux œuvres : c’est très important, je trouve, dans l’équilibre à trouver au sein d’une rédaction. J’espère que de nombreux passionnés continueront de nous rejoindre au fil des ans, et que l’équipe restera aussi exigeante et bienveillante qu’elle l’est.
Pour la comédie musicale en général, je souhaite que le travail entamé ces dernières années pour conquérir de nouveaux publics continue, et que tous ensemble nous participions à casser les stéréotypes associés à cette forme artistique. Et surtout, je souhaite aux artistes beaucoup de belles rencontres avec le public, et au public beaucoup de belles découvertes, de surprises et d’éblouissements !
Chloé Enkaoua, rédactrice
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussée à rejoindre l’équipe ?
Je suis la petite dernière. Pour l’anecdote, l’annonce officielle de mon intégration au sein de l’équipe a été faite le 27 juillet 2017, le jour de mon anniversaire. Je ne pouvais pas rêver plus joli cadeau ! Jusque-là, j’étais une lectrice assidue de Musical Avenue pratiquement depuis son lancement. Alors, lorsque le site pour lequel je prêtais déjà ma plume à la rubrique spectacles musicaux a fermé, je n’ai pas hésité à proposer mes services. Et au vu de la bienveillance avec laquelle j’ai été accueillie, malgré mes appréhensions de rejoindre une équipe soudée dont les membres se connaissaient pour la plupart depuis longtemps, j’ai été immédiatement convaincue d’avoir fait le bon choix. Musical Avenue, outre une équipe de passionnés, c’est aussi une bande de potes qui ne rate pas une occasion de se retrouver pour partager des bons moments ensemble !
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
J’ai été bercée par les films musicaux depuis mon enfance, grâce à mes grandes sœurs qui en regardaient très régulièrement à la maison. Elles avaient des goûts assez éclectiques, et j’ai été imprégnée de cette diversité qui reflète mes goûts d’aujourd’hui. Mes premiers souvenirs marquants s’appellent donc West Side Story, Grease, A Chorus Line, Fame ou encore La Mélodie du Bonheur – que j’ai d’ailleurs tellement regardé étant petite que j’en ai usé la bande de la VHS ! Mais ma première révélation scénique a eu lieu alors que j’avais 14 ans, lorsque j’ai eu la chance de voir Notre-Dame de Paris sur la scène du Palais des Congrès à ses tout débuts, avec la troupe d’origine. J’ai été bouche bée du début à la fin devant tout ce monde qui s’activait devant mes yeux à faire prendre vie à l’histoire de Victor Hugo grâce à la musique, la danse, la mise en scène… 20 ans plus tard, j’ai eu la chance de revoir ce spectacle sur scène et c’est pour moi toujours la même émotion.
Ton souhait pour les 10 années à venir, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Musical Avenue souffle aujourd’hui ses 10 bougies, et c’est pour moi la preuve qu’une équipe soudée mettant toute sa passion et son énergie au service d’un art peut faire des merveilles. Je souhaite donc que cette belle impulsion se poursuive, dans la même ambiance, avec pourquoi pas de nouvelles têtes et en s’attachant à toujours refléter toute la diversité de la comédie musicale. L’engouement des lecteurs n’est bien sûr pas étranger à cette longévité. Je souhaite donc également que le public continue de s’intéresser à cet art encore trop souvent boudé, moqué, décrié… Qu’il soit de plus en plus curieux et n’hésite pas à braver les préjugés pour aller applaudir les artistes de comédies musicales sous toutes ses formes, et sur toutes les scènes de France et du monde entier !
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