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Une interprétation qui touche la perfection
Tout comme il l’avait fait pour les deux précédentes comédies musicales, l’ENO affiche des grands noms pour interpréter les rôles de Carousel. Alfie Boe (Jean Valjean dans le 25e anniversaire des Misérables à l’O2 Arena) et Katherine Jenkins (connue pour être numéro 1 des ventes d’album en Grande Bretagne avec du chant lyrique) incarnent Billy Bigelow et Julie Jordan avec un jeu tout à fait juste et des voix plus que parfaites. Il en est de même pour le couple secondaire interprété par Alex Young (Show Boat) pour le rôle de Carrie Pipperidge et l’impressionnant ténor Gavin Spokes (Guys and Dolls) dans le rôle de Mister Snow. Brenda Edwards (Chicago ; Carmen Jones) dans le rôle de Nettie Fowler marque également les esprits en interprétant le hit de Carousel « You’ll never walk alone ».
A la direction musicale, c’est David Charles Abell, un habitué de la fosse du Théâtre du Châtelet qui est à la tête d’un orchestre de plus de 40 musiciens, dans une fosse d’orchestre en configuration de salle d’opéra, c’est à dire totalement découverte, qui opère un véritable régal pour les oreilles.
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L’ensemble est également très nombreux sur scène, ce qui apporte une grande différence avec la production qui avait lieu au Théâtre du Châtelet en 2013. Les numéros d’ensemble tels « June Is Bustin », « All Over » ou encore le chœur d’hommes « Blow High, Blow Low » prennent une toute autre dimension absolument hypnotisante.
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Une mise en espace plus qu’une mise en scène
Comme les années précédentes, les décors sont sobres et minimalistes et à défaut d’éléments présents sur la scène, il s’agit plutôt d’occuper la très grande scène du Coliseum. Alors que le pari était très réussi l’année précédente sur Sunset Boulevard avec notamment des jeux d’escaliers permettant de palier à de vrais décors, cette fois c’est le recours à des projections vidéos qui a été choisi. Les dessins projetés sont bien cohérents avec le déroulement de l’intrigue mais apporte un léger brin de frustration car ne permettent pas de remplacer de réels décors. La mise en espace est quant à elle aidée par un plateau tournant qui rend les déplacements fluides.
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Même si l’on peut regretter la mise en scène minimaliste, l’ENO nous offre avec Carousel une prestation musicale d’une qualité rarement atteinte dans l’univers de la comédie musicale, donnant à la partition de Rodgers et Hammerstein une dimension opératique qu’il ne faut pas manquer.
Carousel , de Richard Rodgers et Oscar Hammerstein II
English National Opera, London Coliseum
du 7 avril au 13 mai 2017
Réservations sur www.eno.org
Mise en scène : Lonny Price
Avec : Alfie Boe, Katherine Jenkins, Alex Young, Gavin Spokes, Brenda Edwards.
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