Lundi soir, toute l’équipe de la comédie musicale Human Love accueillait à Saint-Denis le public venu nombreux découvrir en avant-première quelques extraits de ce spectacle original.
Sur des sonorités pop et soul, la troupe menée par Moïse N’Tumba (Spartactus ; fondateur du groupe Tribal Jam) a livré une prestation prometteuse assortie de chorégraphies spectaculaires qui augurent du meilleur.
Retour en images sur la soirée.
Projet original que cette comédie musicale soul vouée à communiquer un message de tolérance et d’espoir, et qui explore les thèmes difficiles de la haine raciale et de l’esclavage.
Moti Goya, l’auteur du projet, était sur scène pour présenter la troupe talentueuse du spectacle, venue donner un avant-goût du spectacle à un public privilégié.
Au menu, trois tableaux et deux chansons ont permis aux spectateurs de se faire une idée de cette comédie musicale qui marque par une esthétique musicale atypique dans le paysage théâtrale français, et des paroles pop habilement écrites.
Autant de qualités qui éveillent la curiosité et inciteront à aller découvrir la version complète de Human Love, qui sera sur la scène du Casino de Paris pour une unique date le 19 décembre prochain.
Moti Goya, auteur et metteur en scène de Human Love
Le slameur Souleymane Diamanka se fait le narrateur du destin de ses ancêtres dans Human Love
Moïse N’Tumba incarne Matadi, chef des esclaves, dans Human Love
Un danseur de la troupe de Human Love
La troupe de danseurs de Human Love
Le personnage de Grégoire de Montandart, chef d’un navire négrier, dans Human Love
Le personnage d’Hortensia, la fille de Montandart, enlevée par les esclaves, dans Human Love
La troupe de Human Love reprend un refrain a capella
Moïse N’Tumba
Kim M’a Sellu, chorégraphe de Human Love
Human Love, un spectacle musical de Moti Goya
Le 19 décembre 2011 à 20h
Au Casino de Paris
16 rue de Clichy, 75009 Paris
De 25,20 à 47,20€
Avec : Moïse N’Tumba
Création musicale : Fabien Benhamou; assistant metteur en scène : François Archimbaud; décors : François Abelanet; chorégraphie : Kim M’a Sellu; costumes : Bezem Y Mailan