Concours : 10 places à gagner pour les premières de "Transparence" au Vingtième Théâtre

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Concours : 10 places à gagner pour les premières de "Transparence" au Vingtième Théâtre

Casques bleus, blouses blanches, et grandes pontes de l’humanitaire donneront le coup d’envoi de la saison au Vingtième Théâtre dans Transparence – Une comédie onusienne, nouveau spectacle musical original pour lequel nous vous offrons 10 invitations.

[Le concours est à présent terminé et le tirage au sort a été effectué. Les gagnants et gagnantes ont été contactés par courrier électronique. Merci à tous les participants et à bientôt pour un nouveau concours ! ]

Signée et mis en scène par Benoît Guibert, la pièce s’inspire du roman ONU soit qui mal y pense de Roberto Garcia Saez, ex-coordonnateur principal du Fonds Mondial au sein du Programme des Nations Unies pour le Développement, aujourd’hui directeur d’une société de conseils pour l’ONU.

Pour tenter de gagner l’un des 5 lots de deux invitations aux premières de Transparence mis en jeu, rien de plus simple : envoyez un e-mail ayant pour objet "Concours Transparence" et contenant vos nom, prénom et adresse e-mail à l’adresse concours(a)musicalavenue.fr avant le vendredi 24 août 2012 à 12h.

Les 5 gagnants seront désignés par tirage au sort et seront prévenus par e-mail de leur gain. Ils recevront chacun deux invitations pour assister à la représentation de leur choix le samedi 25, dimanche 26, mercredi 29 ou vendredi 31 au Vingtième Théâtre à Paris.

Bonne chance à toutes et à tous !

Le règlement du concours est disponible en cliquant ici.

"Transparence – Une Comédie Onusienne" au Vingtième Théâtre du 25 août au 7 octobre 2012Transparence – Une Comédie Onusienne au Vingtième Théâtre du 25 août au 7 octobre 2012

Nous avons tous en tête des images de casques bleus sur des véhicules blindés, de blouses blanches dans la brousse et de chefs d’Etat multicolores qui déclarent solennellement souhaiter un monde meilleur devant le logo avec le planisphère bleu. L’ONU et les grandes organisations internationales nous intriguent ou nous impressionnent, mais, lointaines et opaques, nous les connaissons mal.

La communauté internationale mobilise pourtant des dizaines de milliards de dollars chaque année pour soulager les maux des populations les plus défavorisées. Qui s’en occupe ? Les cols blancs des agences internationales, les idéalistes des ONG, les milliers de consultants mercenaires de l’humanitaire chargés de pondre des millions de rapports, les aristocrates du monde diplomatique… Tous ces gens se croisent sans cesse dans les antichambres des cabinets ministériels ou dans les réunions de très haut niveau et les conférences internationales qu’affectionne la «maison bleue».

Roberto Garcia Saez connait bien ce monde du développement. Lui aussi sillonne régulièrement les rizières laotiennes, les villages béninois, à bord de Toyota climatisées, et fréquente assidument les salles de réunion. Depuis vingt ans, il est l’un d’entre eux.

A l’heure de Wikileaks et de Fox news, assujettis à une légitime volonté de transparence, les grands pontes de l’humanitaire tremblent dans leurs costumes Armani au moindre tweet accusateur. Une rumeur de malversation et ils stoppent la machine, bloquent les dollars. Tant pis pour les victimes des guerres civiles, des génocides et des catastrophes naturelles, tant pis pour les petits tuberculeux et les mères séropositives, pourvu que leur brillante carrière suive son cours.

Pour autant, faut-il en finir avec l’ONU et sa bureaucratie aussi légendaire que tentaculaire ? Faut-il crier haro sur Roberto Garcia Saez qui a inspiré le héros de roman Patrick Roméro, devenu personnage principal de Transparence, pour ses pratiques jugées peu orthodoxes, au sein de l’organisation internationale ?

Déchu d’une épopée contemporaine en terre d’Afrique sous la bannière de l’ONU, Patrick Roméro, vissé au tabouret du comptoir de l’Australian Pub à Bangkok revit dans les vapeurs d’alcool la gloire de son ascension et sa chute douloureuse… Huis clos de sa solitude, ce bar verra apparaître différents personnages, acteurs de l’histoire de notre fringant héros, qui vont l’aider à rebondir de la splendeur à la déconvenue, de l’incrimination à la revanche par la chanson, la danse et le rire !


Transparence – Une comédie onusienne, de Benoît Guibert d’après le roman "ONU soit qui mal y pense" de Roberto Garcia Saez

Au Vingtième Théâtre
7 rue des Plâtrières 75020 Paris

Du 25 août au 7 octobre 2012
Du mercredi au samedi à 21h30 ; le dimanche à 17h30.

Pelin tarif : 25€ ; tarif réduit : 20€ ; demi-tarif : 13 €

Réservations : points de vente habituels

Écrit et mise en scène par Benoît Guibert ; assitant à la mise en scène : Geoffrey Kuzman ; création musicale : Hugo Horsin ; chorégraphie : Alain Parage ; décor : Bruno Vitti.

Avec : Kader Boukhanef, Olivier Dote Doevi, Jérôme Dupleix, Verena Gros, Hugo Horsin en alternance avec Bastian Verdina, Julie Lavergne en alternance avec Mélissa Broutin.

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