[mp_row]
[mp_span col= »12″]
[mp_text]
Once Upon a Time
C’est grâce au collectif Something Musical (Association créée en 2017) que cette comédie musicale a pu voir le jour après une campagne de crowdfunding. Ces six passionnées de Broadway, avec l’aide d’un pianiste, d’un bassiste et d’un percussioniste/violoncelliste ont joint leur talent pour recréer de toutes pièces ce spectacle qui a fait rire à travers le monde et notamment New York fin 2014. Les princesses ne sont pas celles que vous croyez. Après avoir enlevé leurs diadèmes, elles deviennent des femmes comme tout le monde avec des problèmes, des envies et des folies. Parlant aussi bien de tolérance, de racisme ou encore d’homophobie, découvrez qui se cache vraiment derrière Blanche-Neige, Belle, Cendrillon, Raiponce, Tiana, Mulan, Pocahontas ou encore Ariel la petite sirène.
[/mp_text]
[/mp_span]
[/mp_row]
[mp_row]
[mp_span col= »12″]
[mp_image id= »20648″ size= »full » link_type= »custom_url » link= »# » target= »false » caption= »true » align= »left » margin= »10,10,none,none »]
[/mp_span]
[/mp_row]
[mp_row]
[mp_span col= »12″]
[mp_text]
C’est une comédie musicale drôle, efficace et originale que nous avons découvert dans cette petite salle du 14ème arrondissement. Puisqu’elle est présentée intégralement en anglais, la production a eu la bonne idée d’inclure un petit lexique dans le programme pour faciliter la compréhension du livret qui enchaîne les blagues à vive allure. Pendant presque deux heures on découvre les princesses que nous connaissons tous sous un jour totalement nouveau grâce à une distribution multitâches qui n’hésitera pas à se démultiplier pour jouer plusieurs princesses à la fois. Mention spéciale à Jeanne Le Bozec pour ses interprétations enflammées de Belle, La Petite Sirène et Raiponce avec un sens de la comédie remarquable.
Au travers de treize numéro musicaux tous aussi variés les uns que les autres, les princesses défilent et ne se ressemblent pas grâce à une Snow White en maîtresse de cérémonie incarnée avec justesse et humour par Myriam Bakir (qui a également assuré la direction musicale). On retiendra également la candeur de Marion Roudier qui campe une Cendrillon naïve et hilarante se demandant d’ailleurs pourquoi personne n’a la même pointure qu’elle dans tout le royaume. Tout les numéros de groupes sont extrêmement efficace notamment l’hilarant « All I Wanna Do Is Eat » qui décrit sans filtres tout ce que les princesses rêvent de manger ou encore le final « Once Upon A Time », belle ode sur ce qu’il y a derrière les « Happily Ever After ». Mais le numéro qui nous aura le plus marqué reste l’entêtant « Finally » interprété par The Princess Who Kissed The Frog (épatante Ophélie Joinville qui a assuré les chorégraphies et le coaching vocal) qui souligne le fait qu’il aura fallu du temps avant qu’une princesse de couleur arrive sur le devant de la scène.
Vous l’aurez compris, nous avons été séduits par cette œuvre Off-Broadway interprétée avec passion et avec un petit orchestre live qui mériterait d’être soutenu pour revenir sur les planches parisiennes le plus vite possible. Ces princesses n’ont pas encore dit leur dernier mot et nous espérons bien les revoir prochainement.
Retrouvez des extraits de « Disenchanted The Musical » aux Etats-Unis
[/mp_text]
[/mp_span]
[/mp_row]
[mp_row]
[mp_span col= »12″]
[mp_video src= »https://www.youtube.com/watch?v=MuDDttwfvEM » margin= »10,10,none,none »]
[/mp_span]
[/mp_row]
[mp_row]
[mp_span col= »12″]
[mp_text]
Disenchanted!, de Denis T.Giacino
Mise en scène : Margaux Laidet ; Direction Musicale : Myriam Bakir et Jérémy Andriamakaoly ; Chorégraphie : Ophélie Joinville ; Coaching Vocal : Ophélie Joinville et Françoise Roudier ; Piano : Jérémy Andriamakaoly ; Basse : Pierre-Emmanuel Wulfman ; Percussions/Violoncelle : Samih Souissi ; Communication et désign : Céline Chen et Marion Roudier ; Régie décors : Margaux Laidet ; Costumes : Camille Duquennoy ; Administration : Marion Roudier ; Photographie : William Masclet : Assistante coulisses : Leila
Avec : Myriam Bakir, Marion Roudier, Margaux Laidet, Céline Chen, Jeanne Le Bozec et Ophélie Joinville
[/mp_text]
[/mp_span]
[/mp_row]