[mp_row]
[mp_span col= »12″]
[mp_text]
[/mp_text]
[/mp_span]
[/mp_row]
[mp_row]
[mp_span col= »12″]
[mp_text]
A vos bouches, prêts, sifflez
Le Siffleur, de son vrai nom Fred Radix, est un comédien/musicien depuis 1994. Après avoir passé 12 ans dans une compagnie de Théâtre burlesque musical, il décide de créer des spectacles théâtraux et musicaux sous son propre nom. Il prend également le temps de sortir un album en 2004 qui sera salué par la critique sans oublier de mettre en scène de nombreux spectacles dont récemment Peau Neuve de Lili Cros et Thierry Chazelle.
Entre 1999 et 2014, il invente pas moins de 7 spectacles dont Le Siffleur qui est son dernier projet en date. Après plus de 300 représentations dans toute la France et dans de nombreux festivals, Fred Radix est de retour à Paris pour enchanter nos oreilles de son souffle si particulier.
[/mp_text]
[/mp_span]
[/mp_row]
[mp_row]
[mp_span col= »12″]
[mp_image id= »12427″ size= »full » link_type= »custom_url » link= »# » target= »false » caption= »true » align= »left » margin= »none,10,none,none »]
[/mp_span]
[/mp_row]
[mp_row]
[mp_span col= »12″]
[mp_text]
Pendant un peu plus d’une heure, vous serez transporté dans un monde musical du baroque au classique en passant par le contemporain. Tel le professeur de musique que l’on aurait rêvé avoir à l’école, Le Siffleur impressionne par la précision cristalline de chaque note tout en injectant ici et là, avec humour, anecdotes sur les œuvres sifflées. Avec une répartie percutante mais toujours bon enfant, il n’hésitera pas à interagir avec le public pour le plaisir de tous. Juché sur une petite boîte à son nom et habilement mis en lumière, il maîtrise aussi bien les chants d’oiseaux que les grands classiques du cinéma. L’interprétation de Singin in the Rain est d’ailleurs un beau moment de poésie. On souhaiterait presque qu’il reprenne La La Land tant le film semble un sujet parfait à ce bel exercice revenant à la mode.
De Mozart à Bizet en passant par Schubert, rien n’est laissé au hasard dans ce récital millimétré. On découvre les débuts du sifflet dès 1781 puis l’on s’amuse à reconnaitre des titres variés dans un blind-test du sifflet des plus réussi. C’est alors que l’on entend parfois des publicités qui ont bercé la fin du vingtième siècle plutôt que leurs auteurs classiques. Et c’est là la véritable force de ce spectacle à l’instar d’Odino, décomplexer la musique classique pour la rendre accessible et ludique au plus grand nombre.
[/mp_text]
[/mp_span]
[/mp_row]
[mp_row]
[mp_span col= »12″]
[mp_image id= »12428″ size= »full » link_type= »custom_url » link= »# » target= »false » caption= »true » align= »left » margin= »10,10,none,none »]
[/mp_span]
[/mp_row]
[mp_row]
[mp_span col= »12″]
[mp_row_inner]
[mp_span_inner col= »12″]
[mp_text]
Vous ne serez pas en reste puisque le public sera mis à disposition pour une audition des plus cocasses. On pourra regretter l’absence d’un véritable quatuor à cordes comme c’était le cas dans d’autres théâtres, mais cela à l’avantage de ne pas détourner l’attention du maître Siffleur sur sa boite haut perché qui tenait en sa main son récital imprimé.
Impossible de ne pas repartir la bouche en cœur et les yeux rieurs après la démonstration virtuose de ce poète du souffle musical. Un spectacle inédit et étonnant à découvrir chaque mardi jusqu’au 25 avril à l’Européen et en tournée dans toute la France jusqu’en juin 2017.
Retrouvez des extraits du spectacle « Le Siffleur »
[/mp_text]
[/mp_span_inner]
[/mp_row_inner]
[mp_row_inner]
[mp_span_inner col= »12″]
[mp_video src= »https://www.youtube.com/watch?time_continue=53&v=sYSvF_UacUc » margin= »none,10,none,none »]
[/mp_span_inner]
[/mp_row_inner]
[/mp_span]
[/mp_row]
[mp_row]
[mp_span col= »12″]
[mp_text]
Crédit Photos : Magali Stora
[/mp_text]
[/mp_span]
[/mp_row]
[mp_row]
[mp_span col= »12″]
[mp_row_inner]
[mp_span_inner col= »12″]
[mp_text]
Le Siffleur , de Fred Radix
à l’Européen
5 Rue Biot 75017 Paris
Tous les mardis à 20h30 à partir du 7 Février 2017
Et en tournée jusqu’à fin juin 2017
Artiste auteur interprète : Fred Radix ; Son : Jean-michel Quoisse et Jeandrien Guyot ; Lumières : Clodine Tardy et Manu Privet
[/mp_text]
[/mp_span_inner]
[/mp_row_inner]
[mp_row_inner]
[mp_span_inner col= »12″]
[mp_text]
[/mp_text]
[/mp_span_inner]
[/mp_row_inner]
[/mp_span]
[/mp_row]
