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Timéo raconte l’histoire d’un jeune garçon qui malgré son handicap rêve de devenir artiste de cirque. Lorsqu’il apprend que le cirque Diabolo, où travaille son idole Melody Swann, s’installe en ville, Timéo décide coûte que coûte de s’inviter aux répétitions. Il découvre alors que Melody à soudainement disparu…
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C’est à ce moment précis que l’on aurait aimé que l’action démarre, nous entraine, nous fasse vibrer. L’histoire reste ainsi très linéaire, sans réel rebondissement pour susciter une vraie émotion face au destin de notre courageux héros. La disparition de Mélody Swann n’est finalement qu’un fil conducteur au service de jolis numéros de cirque.
De son côté, Timéo se retrouve plus spectateur qu’acteur dans cette intrigue. Trop peu de tableaux mettent en avant son épanouissement en tant qu’artiste en herbe et nous le regrettons. Pour autant, nous avons particulièrement apprécié les quelques instants chorégraphiés entre Mathias Raumel (Timéo) en fauteuil roulant et Florence Peyrard (Lilou), des moments magiques pleins de beauté !
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Vocalement la troupe s’en sort plutôt bien même si l’on discerne rapidement les habitués des scènes de comédies musicales. Rien à redire sur les acrobates impressionnants de grâce et d’agilité ! Dans l’ensemble, c’est en revanche plus laborieux sur les scènes de comédies.
La mise en scène n’en reste pas moins très belle bien que les décors soient presque inexistants. L’utilisation de projection vidéo habille complètement la scène et immerge parfaitement les artistes dans les différents tableaux. Les jeux de lumières viennent tour à tour électriser la scène ou lui apporter une délicate note de poésie. On retiendra tout particulièrement le numéro de Véronick Sévère (Dahlia) sur « La Femme Électro » et celui de Sylvain Rigault et Anako Gaudin (M. et Mme Tarzanov) sur « Danser sur le soleil », visuellement très réussis. Petit bémol et grande interrogation sur les chiens robots… Était-ce vraiment nécessaire ?
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Rythmées et entrainantes pour certaines, les chansons sont agréables et l’on se prend encore à les fredonner à la fin du spectacle. Les costumes et maquillages des acrobates et des clowns sont superbes, originaux et pleins de couleurs, ils évoquent à merveille toutes les fantaisies de l’univers du cirque !
Passé le discours sur l’acceptation du handicap amené de manière peu subtile, sur un ton très enfantin voire moralisateur, le public familial devrait trouver son compte dans cette circomédie pleine de bons sentiments.
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Crédit photos : Manuel Moutier
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Réserver
Timéo – La Circomédie Musicale, d’Alex Goude
Au Casino de Paris à partir du 16 septembre 2016
16 rue de Clichy, 75009 Paris
Metteur en scène : Alex Goude ; Auteur : Jean-Jacques Thibaud ; Compositeur : Julien Vallesp ; Chorégraphe : Johan Nus
Avec : Jérémy Charvet, Mikelangelo Loconte, Benjamin Meytraud, Mathias Raumel, Florence Peyrard, Simon Heule, Djamel Mehnane, Ofélie Crispin
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