En janvier 2021, MusicalAvenue fêtait (déjà) ses 12 ans. A l’origine, c’était un blog lancé par 3 passionnés de comédie musicale pour faire la promotion du genre. Depuis, c’est devenu un média multi-plateformes animé par un collectif de 10 chroniqueurs très investis (dont 3 nouveaux en 2021 à qui l’on souhaite la bienvenue !) que l’on vous invite à découvrir plus en détail dans cette publication.
Florian Guerard, chroniqueur
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussé à rejoindre l’équipe ?
J’ai intégré Musical Avenue en février 2021. Passionné de comédies musicales, j’avais déjà eu l’occasion de publier quelques articles sur le sujet sur « Chronique Disney ». Quand l’occasion de rejoindre l’équipe s’est présentée, je n’ai pas hésité un seul instant afin de pouvoir partager ma passion avec d’autres frappadingues de comédies musicales.
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Mon premier souvenir marquant reste la fois où j’ai vu Wicked à Londres en 2013. J’avais déjà écouté l’album du spectacle un bon nombre de fois et j’étais curieux de le voir sur scène. J’ai été impressionné par le spectacle qui m’en a mis plein les yeux durant plus de 2 heures. Depuis, je navigue entre le West End, Broadway et Paris pour voir le plus de spectacles possible !
Ton souhait pour 2021, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Pouvoir retourner au théâtre très rapidement dans un premier temps. Mais également que l’équipe Musical Avenue continue de transmettre sa passion au plus grand nombre. Et enfin de voir le genre continuer de s’installer dans le coeur des spectateurs en France.
Eve-Marie-Leroy, chroniqueuse
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussée à rejoindre l’équipe ?
Fin d’année 2020, Musical Avenue a fait un webinaire avec pour but de faire se rencontrer des passionné(e)s de comédies musicales ; nous ne savions pas encore qu’il s’agit aussi d’un appel à candidatures pour les rejoindre. Mon instinct m’a dit de me lancer et d’embarquer Fabrice dans cette aventure. Une lettre de motivation et trois articles d’essai plus tard, me voilà rejoignant l’équipe en février 2021. L’envie de partage est le moteur premier à ma présence dans cette troupe aussi bienveillante qu’experte sur le sujet.
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
La musique fait partie de ma vie depuis que j’ai l’âge de m’en souvenir. Comme beaucoup d’entre nous, Disney fut déterminant dans mon rapport au cinéma (j’ai d’ailleurs beaucoup de mal à envisager un dessin animé sans musique). Et puis les grandes productions musicales américaines (Un Américain à Paris, Certains l’aiment chaud…) viennent s’entremêler aux classiques français de Jacques Demy (Les Parapluies de Cherbourg, Les Demoiselles de Rochefort…). D’une nature rêveuse, j’ai l’impression qu’un autre quotidien s’offre à moi. En 2010, assise au deuxième rang au le théâtre du Chatelet, Les Misérables vient confirmer mon addiction à ce genre que j’explore depuis que le CD de Starmania interprété par les Enfoirés tourne en boucle : tout y est ! L’émotion procurée depuis ce jour ne me quitte rarement. Je crois que la troupe s’en souvient encore.
Ton souhait pour 2021, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
J’ai le sentiment que nous sommes à un tournant de l’histoire du spectacle musical. Nous avons besoin plus que jamais de sortir de cet environnement morose pour s’évader au travers d’histoires musicales, légères ou non d’ailleurs. J’aspire donc à retrouver les artistes sur scène, plus audacieux que jamais repoussant les codes de la comédie musicale. Je nous souhaite de transmettre un maximum de la passion qui nous anime, suivre au plus près les productions à venir et les promouvoir au travers de différents formats. Une année 2021 permettant peut-être à Paris de devenir le Broadway français ?
Fabrice Felez, chroniqueur
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussé à rejoindre l’équipe ?
J’ai rejoins Musical Avenue au début de l’année 2021, en binôme et sous l’impulsion d’Eve-Marie. Nous avons proposé notre candidature comme un défi, pour rencontrer d’autres passionnés. Cela constitue aussi un challenge personnel, pour aiguiser mon sens critique, et apprendre au contact de connaisseurs. La bienveillance de l’équipe a fini de me séduire. C’est avec fierté que je participe désormais à cette belle aventure, et espère apporter un regard neuf pour l’écriture des articles.
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Difficile d’identifier un souvenir précis. Instinctivement je dirais Le Roi Soleil, mais en réalité j’ai toujours baigné dans une ambiance de spectacles musicaux. A six ans, j’assiste à La Belle et la Bête sur glace, et chaque année je m’immerge dans les films Disney et les shows sur le parc parisien. Sans en avoir conscience, j’étais fasciné par ce mélange de chants, danses, costumes, mise en scène, lumières… Puis arrive Notre-Dame de Paris, qui donne un nouveau souffle aux créations françaises. Eve-Marie me fait partager sa culture anglo-saxonne du musical, et je me rends compte qu’un océan est à découvrir. Les productions de Cats à Mogador, puis la chance d’assister à Wicked à Broadway confirment que je suis complètement captivé par ce genre artistique. D’un classique à un opéra rock, d’une fresque musicale à une opérette marseillaise, il existe une telle diversité de propositions musicales que chacun pourra trouver une œuvre qui le touche.
Ton souhait pour 2021, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Ce n’est pas original, mais j’espère la reprise des spectacles et la réouverture des théâtres. Après des mois de morosité et de restrictions, nous avons tous besoin de légèreté, de positivité, de vivre des émotions, de partager de beaux moments ensemble. Il y a 2.600 ans déjà, les Grecs attachaient une importance toute particulière au genre théâtral et voyaient dans les représentations un moyen de tisser les liens entre les citoyens. Les artistes sont plein d’énergie et prêts à nous transporter vers une nouvelle décennie à réinventer. Pour Musical Avenue, je souhaite que notre équipe puisse couvrir un maximum d’événements. Nous allons être fortement sollicités tant les productions annoncées pour la rentrée 2021 sont nombreuses, mais cela nous permettra de donner une belle dynamique au site ; sans compter les autres formats en cours de développement (mais chut on ne dit rien pour le moment !).
Philémon Heutte, chroniqueur
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussé à rejoindre l’équipe ?
J’ai intégré Musical Avenue en 2018. J’ai toujours eu une grande adoration pour la comédie musicale sans vraiment y penser. A force d’excéder mes proches en ne parlant quasiment que de ça, ils et elles m’ont conseillé de trouver une activité pour pouvoir exprimer ma passion. Etant habitué aux médias et à l’écriture dans mon travail (je suis attaché presse), proposer ma plume à ce site que j’aimais tant déjà me paraissait être une bonne idée. Je ne regrette pas ce choix !
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Aussi loin que je me rappelle, j’ai toujours regardé des films musicaux. J’ai grandi avec Chantons sous la pluie, La Mélodie du bonheur, Chicago, Moulin Rouge, Chitty Chitty Bang Bang, Les sept femmes de barbe rousse (et oui…). Mon film préféré est West Side Story ; je me souviendrais toujours de l’extase que j’ai ressentie la première fois que je l’ai vu. Des films musicaux, je suis ensuite passé à la comédie musicale sur scène grâce à Stephen Sondheim. Là encore, je n’oublierai jamais le moment où j’ai découvert Company.
Ton souhait pour 2021, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Je l’ai dit à plusieurs reprises, et je le répéterai encore et encore : je veux voir Gypsy en France. Certes, c’est un pari risqué et ce ne sera sûrement pas en 2021, mais je pense qu’on y arrivera un jour. Concernant Musical Avenue, je suis ravi de tous les projets que nous développons depuis un moment déjà. Pour moi, Musical Avenue représente un point d’ancrage où les passionné.e.s peuvent se retrouver et exprimer leur passion, peu importe leurs goûts (et nous savons qu’il y a souvent débat). Musical Avenue continue sa constante évolution, avec des nouveaux formats et des nouveaux rendez-vous. C’est un régal de faire partie de l’aventure !
Nathalie Katinakis, chroniqueuse
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussée à rejoindre l’équipe ?
J’ai rejoint Musical Avenue au mois de novembre 2011. Quelques mois plus tôt, j’avais créé un blog dédié aux comédies musicales. Puis, j’ai découvert le site web de Musical Avenue et j’ai voulu partager cette passion au sein d’une équipe plutôt qu’en solo de mon côté. Cela tombait bien, car il n’y avait encore aucun collaborateur au Canada. Baptiste et le reste de l’équipe ont voulu me donner ma chance et je leur en suis très reconnaissante. Depuis, je couvre dès que possible les actualités de Montréal et les spectacles du genre qui sont présentés dans la métropole québécoise. Un vrai bonheur !
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Enfant et adolescente dans les années 1980-1990, j’ai d’abord été initiée aux comédies musicales par des spectacles comme Starmania dont les tubes tournaient alors sans cesse à la radio et à la télé. Puis, au début des années 2000, je n’ai pas échappé à la frénésie de Notre-Dame de Paris , même si je n’ai eu la chance de voir le spectacle sur scène que récemment. Mais je dois dire que mon souvenir le plus marquant de comédie musicale est quand je suis allée voir Cats lors de sa tournée nord-américaine en 2010 à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts de Montréal. Un moment magique qui m’a indéniablement donné la piqûre !
Ton souhait pour 2021, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Durant ces derniers mois difficiles, Musical Avenue a pourtant gardé le cap en restant actif et en continuant sa mission de plus belle : encourager les initiatives liées aux comédies musicales. Je souhaite donc tout simplement que cela continue, malgré la situation incertaine. Je sais que notre équipe est plus que motivée pour poursuivre cette formidable aventure, désormais sur plusieurs plateformes.
Margot Capespine, chroniqueuse
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussée à rejoindre l’équipe ?
J’ai intégré l’équipe il y a presque dix ans, au cours de l’été 2012. A l’époque j’étais déjà une lectrice assidue de Musical Avenue et une passionnée de ce qui se passait à Broadway. J’ai voulu rejoindre l’équipe pour échanger et écrire sur cet univers qui me fascinait… mais aussi pour enfin rencontrer des gens aussi obsédés que moi ! Une équipe qui est devenue petit à petit une vrai tribu.
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Je suis arrivée à la comédie musicale en découvrant la fascinante actrice Marilyn Monroe, comme toutes les adolescentes de mon âge. Ainsi mon introduction au musical fut grâce aux films Le Milliardaire ou encore Les hommes préfèrent les blondes. Et le virus des films musicaux de l’âge d’or hollywoodien m’a piquée. Pou pou pi doo !
Ton souhait pour 2021, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Fin 2020 a été un tournant pour l’équipe Musical Avenue. Nous sommes revenus à ce qui nous motivait intrinséquement à la base : échanger avec d’autres passionné.e.s. Je souhaite qu’on puisse continuer ainsi : à nous rapprocher de nos lecteurs, à les intégrer dans la tribu, à assurer le lien entre eux et les artistes, les créatifs ou les spectacles qu’ils.elles préfèrent. « Entretenir le lien », c’est ma priorité pour ce spectacle musical français et international qui n’a pas encore retrouvé son public. C’est ma mission à travers le média protéiforme qu’est en train de devenir Musical Avenue.
Romain Lambert, chroniqueur
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussé à rejoindre l’équipe ?
J’ai intégré Musical Avenue en juin 2012. J’étais un petit lycéen vivant à Moulins sur Allier qui tenait un petit blog sur sa passion des comédies musicales (au lieu de réviser son bac). C’est à travers ce blog que Baptiste Delval m’a contacté, me proposant de rejoindre l’équipe. Musical Avenue faisait partie de mes sites de référence que je consultais régulièrement. J’ai immédiatement accepté la proposition.
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Mes premiers souvenirs marquants de comédie musicale sont surtout associés à des films. D’abord Peau d’âne quand j’étais tout petit, notamment la scène du Cake d’Amour (mais comment fait-elle pour se dédoubler?). Un peu plus tard, j’ai découvert la comédie musicale américaine en voyant Chicago au cinéma et ce fut un véritable coup de cœur. Par contre, ma mère s’en veut encore d’avoir amené un enfant de 8 ans voir ce film ! Puis j’ai découvert quelques années plus tard que la plupart de ces films que j’adorais étaient des spectacles à l’origine, et tout un monde merveilleux s’est offert à moi.
Ton souhait pour 2021, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Je souhaite que l’on arrête de me citer le sketch de Gad Elmaleh dès que je dis que j’aime les comédies musicales ! Plus sérieusement, je souhaite tout d’abord que l’on puisse retourner voir des spectacles, et ce le plus rapidement possible. Que la comédie musicale soit enfin reconnue à sa juste valeur en France. Que les projets ambitieux et novateurs se multiplient. Que Musical Avenue ne cesse de grandir et que le site continue à être une référence auprès d’adolescent.e.s auvergnat.e.s cherchant à s’informer sur le monde merveilleux de la comédie musicale.
Gabrielle Carayon, chroniqueuse
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussée à rejoindre l’équipe ?
J’ai rejoint l’équipe Musicale Avenue en 2015. Je venais de rentrer d’un an et demi à Londres où je m’étais nourrie de comédies musicales aussi souvent que je le pouvais. J’étais tellement fascinée par tous ces artistes talentueux qui chantaient, dansaient et jouaient la comédie merveilleusement bien, que petit à petit l’idée a germé d’écrire sur la comédie musicale une fois rentrée en France. Que ce soit des interviews d’artistes, des articles, des critiques de spectacle en créant mon propre site ou en intégrant une équipe, à l’époque, je ne savais pas encore vraiment la forme que prendrait ce projet. Quelques mois plus tard, à Paris, je suis tombée sur l’offre de Musical Avenue qui recherchait des chroniqueurs et je me souviens m’être dit « ça y est, c’est ça ! » et j’ai envoyé mon CV !
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Difficile ! J’ai plusieurs souvenirs qui me viennent à l’esprit. Je crois que le premier, c’est une comédie musicale à Londres lors d’un voyage linguistique en 2011, Billy Elliot au Victoria Theatre. J’avais été bluffée par les enfants, incroyablement doués et professionnels. C’était impressionnant ! A moins que ce ne soit Le Roi Soleil en 2005, j’ai passé mon été avec la chanson « Mon essentiel » dans les oreilles, j’avais 15 ans ! Et puis plus jeune, j’ai beaucoup regardé les films de la Metro-Goldwyn-Mayer, l’âge d’or d’Hollywood… An American in Paris, Singin’ in the rain, Top Hat, Gene Kelly, Fred Astaire… ma toute première introduction à l’univers de la comédie musicale grâce à ma mère et ma grand-mère.
Ton souhait pour 2021, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Je souhaite que Musical Avenue continue de grandir, que l’équipe s’agrandisse et que l’on puisse continuer à promouvoir la comédie musicale sous toutes ses formes. En tant que site de référence, je pense que Musical Avenue doit aussi continuer de toujours plus valoriser et soutenir la création. Nous avons beaucoup de talents en France, ce n’est pas que l’apanage de Broadway ou du West End. J’espère aussi que la comédie musicale arrivera définitivement à se libérer des clichés qui l’entourent depuis longtemps et que le genre continuera à se professionnaliser. A l’image des Etats Unis et de l’Angleterre, cela serait fantastique dans les années à venir que l’on puisse offrir plus souvent la possibilité aux enfants de se former très jeune à la comédie musicale. Que ce soit grâce à des écoles spécialisées ou d’autres structures adaptées, il faut soutenir et encourager davantage le talent chez les enfants pour en faire des artistes complets une fois adultes. C’est ce que les américains et les anglo-saxons ont compris depuis longtemps et appellent la « triple threat », c’est-à-dire être aussi bon en danse, en chant et en théâtre. Je pense que c’est la clé si l’on souhaite que le genre continue d’évoluer et de se développer en France.
Thomas Berneuil, chroniqueur
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussé à rejoindre l’équipe ?
J’ai eu la chance d’intégrer Musical avenue il y a 5 ans maintenant, le temps passe vite quand on est bien entouré. Je lisais le site assidûment depuis des années, mais je n’avais jamais pensé passer de l’autre côté de l’écran. J’écrivais déjà pour mon propre plaisir des critiques de films ou de spectacle sur les réseaux sociaux, mais le fait d’être impliqué sérieusement pour le site aiguise la curiosité et nous force à aller au-delà de notre zone de confort. Cela a été une vraie motivation pour rejoindre cette formidable équipe.
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Il y a plusieurs souvenirs marquants qui je pense ont stimulé rapidement ma passion pour les comédies musicales. Le premier fut Cats que j’ai eu l’occasion de voir avec mes parents très jeune sur Paris. Cette ouverture avec ces notes uniques et reconnaissables entre 1000 ne m’ont jamais quitté, et j’ai vécu à nouveau cette même émotion en retournant le voir à Mogador il y a quelques années maintenant. Les premières des Dix commandements au Palais des Sports ainsi que Roméo & Juliette au Palais des Congrès n’ont fait qu’attiser davantage cette envie de découvrir encore plus de spectacles musicaux, jusqu’à mon premier show à Broadway : Chicago, en 2006 !
Ton souhait pour 2021, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
J’aimerais que Paris se joigne à New York, Londres ou même Stuttgart et Hambourg pour nous présenter comme toutes ces villes de nombreuses productions de comédies musicales variées et de qualité sur plusieurs années. Espérons que Musical Avenue continue d’être une référence pour tous nos lecteurs passionnés et pour les petits nouveaux qui découvriront le genre pendant de nombreuses années. Longue vie à la comédie musicale !
Chloé Enkaoua, chroniqueuse
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussée à rejoindre l’équipe ?
J’ai rejoint l’équipe en 2017. Pour l’anecdote, l’annonce officielle de mon intégration au sein de l’équipe a été faite le 27 juillet, le jour de mon anniversaire. Je ne pouvais pas rêver plus joli cadeau ! Jusque-là, j’étais une lectrice assidue de Musical Avenue pratiquement depuis son lancement. Alors, lorsque le site pour lequel je prêtais déjà ma plume à la rubrique spectacles musicaux a fermé, je n’ai pas hésité à proposer mes services. Et au vu de la bienveillance avec laquelle j’ai été accueillie, et malgré mes appréhensions de rejoindre une équipe déjà soudée, j’ai été immédiatement convaincue d’avoir fait le bon choix. Musical Avenue, outre une équipe de passionnés, c’est aussi une bande de potes qui ne rate pas une occasion de se retrouver pour partager des bons moments ensemble !
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
J’ai été bercée par les films musicaux depuis mon enfance, grâce à mes grandes sœurs qui en regardaient très régulièrement à la maison. Elles avaient des goûts assez éclectiques, et j’ai été imprégnée de cette diversité qui reflète mes goûts d’aujourd’hui. Mes premiers souvenirs marquants s’appellent donc West Side Story, Grease, A Chorus Line, Fame ou encore La Mélodie du Bonheur – que j’ai d’ailleurs tellement regardé étant petite que j’en ai usé la bande de la VHS ! Mais ma première révélation scénique a eu lieu alors que j’avais 14 ans, lorsque j’ai eu la chance de voir Notre-Dame de Paris sur la scène du Palais des Congrès à ses tout débuts, avec la troupe d’origine. J’ai été bouche bée du début à la fin devant tout ce monde qui s’activait devant mes yeux à faire prendre vie à l’histoire de Victor Hugo grâce à la musique, la danse, la mise en scène… 20 ans plus tard, j’ai eu la chance de revoir ce spectacle sur scène et c’est pour moi toujours la même émotion.
Ton souhait pour 2021, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Depuis quelques mois, Musical Avenue a pris un nouveau tournant avec des contenus vidéo en plus des articles écrits, et a également accueilli de nouveaux membres. Je souhaite donc que cette belle impulsion se poursuive, dans la même ambiance et en s’attachant à toujours refléter toute la diversité de la comédie musicale. Bien sûr, cela va de pair avec une reprise des spectacles et du monde de la culture de manière générale. J’espère que cela se fera rapidement… Je souhaite également que le public continue de s’intéresser à cet art encore trop souvent boudé, moqué, décrié… Qu’il soit de plus en plus curieux et n’hésite pas à braver les préjugés pour aller applaudir les artistes de comédies musicales sous toutes ses formes lorsque cela sera à nouveau possible.
Stéphany Kong, chroniqueuse et Présidente de l’association
A quel moment as-tu intégré Musical Avenue, et quelles sont les raisons qui t’ont poussée à rejoindre l’équipe ?
J’ai intégré Musical Avenue en 2009, après avoir remporté l’original concours « Casting & Cupcakes » qui permettait de gagner des invitations pour Casting – le musical avec un cupcake en dessert offert. J’y suis allée avec ma belle-sœur, Sophie, et nous avons rencontré Baptiste et Pierre – les fondateurs du site – à cette occasion. Ils nous ont alors proposé de rejoindre l’équipe, ce qui nous a bien motivées pour pouvoir partager notre passion avec d’autres que nous !
Quel est ton premier souvenir marquant de comédie musicale ?
Wicked, à Londres en 2008. Je faisais mes études à Manchester à l’époque, et je m’étais rendue à la capitale pour retrouver des amis et voir un concert. Ledit concert a été annulé à ma grande déception… en suivant les recommandations, je suis allée voir Wicked avec très peu d’attentes car je ne connaissais pas du tout. J’ai pris une claque ! Et depuis je suis devenue une vraie grande passionnée de comédies musicales.
Ton souhait pour 2021, tant pour l’équipe de Musical Avenue que pour l’industrie de la comédie musicale en général ?
Que l’art de la comédie musicale dans les pays francophones puisse être reconnu à sa juste valeur, avec une offre qui puisse reprendre et continuer à nous faire rêver. Mais aussi que l’équipe de Musical Avenue continue à innover et être audacieuse pour rester incontournable dans la promotion de ce genre que l’on adore. Tout en rassemblant et connectant le public avec l’ensemble des acteurs qui oeuvrent au quotidien dans le milieu, c’est un vrai enjeu pour nous en 2021 !
Pour en savoir plus : contact@musicalavenue.fr