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Dans cette version de Grease en français, dont certaines chansons ont été conservées en anglais, et dont l’orchestration a été revisitée dans un esprit plus « années 60 » mettant l’accent sur les cuivres, tout a été fait pour que le public passe un moment jouissif et vitaminé, entre nostalgie et pur enthousiasme.
Trois numéros nous sont présentés, « Grease is the word », « Je ne peux me passer de nous » (adaptation très réussie de « Hopelessly devoted to you ») et « Shakin’ at the High School Hop », à l’issue desquels nous sommes invités à nous entretenir avec les comédiens. Nous avions rencontré Alexis Loizon (Danny) et Alyzée Lalande (Sandy) autour d’un café le mois dernier : c’est maintenant à Emmanuelle Nzuzi (Rizzo), Yanis Si Ah (Kenickie), Alexandre Faitrouni (Eugène) et Sébastien Lemoine (Vince Fontaine / Teen Angel) de nous raconter leur Grease.
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Emmanuelle Nzuzi (Rizzo) et Yanis Si Ah (Kenickie)
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Musical Avenue : Rizzo et Kenickie sont souvent considérés comme les rôles les plus complexes de Grease, qui incarnent la partie sombre de la vie des adolescents américains de cette époque. Comment vous êtes-vous préparés pour ces rôles ?
Emmanuelle : En en parlant beaucoup ensemble, d’abord. Nos personnages, dans leur côté sulfureux et l’aspect plus dramatique de leur histoire, sont la preuve qu’il y a aussi des choses plus dures dans les histoires d’adolescents. Et il y a besoin de ça dans cette comédie musicale : Grease, ce n’est pas que de la légèreté.
Yanis : En tant qu’interprètes, c’est très intéressant : nos personnages sont tellement torturés qu’on explore beaucoup de choses, on peut aller en profondeur dans les caractères, il y a une vraie recherche. Et on a vraiment une évolution dans le spectacle ! Les autres personnages sont davantage similaires du début à la fin : ils vivent une année au lycée assez normale, assez « cool », alors que Kenickie et Rizzo suivent un vrai parcours initiatique.
Emmanuelle : Mais c’est vrai que cette version sur scène, tous les personnages vivent tout de même une belle évolution, y compris des personnages peut-être plus « cartoon » comme Frenchy ou Sandy. Et pour cela on peut vraiment saluer l’adaptation ! Notre version est plus proche de la comédie musicale originale [ndlr : la comédie musicale sur scène, créée en 1971, ayant inspiré le film sept ans après] que du film sur ce point là.
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Justement, en parlant d’adaptation : cette version au Mogador propose certaines chansons dans leur version originale, d’autres dans leur traduction française de Nicolas Engel. Comment avez-vous vécu ça, en tant qu’interprètes ?
Emmanuelle : Au départ il y a eu beaucoup d’appréhension, même de la part de l’équipe créative. C’était vraiment un pari, quelque chose qui n’avait jamais été fait. Dans Mamma Mia! par exemple, le parti pris avait été de tout traduire. Là, on voulait garder l’aspect « iconique » et ne pas dénaturer l’œuvre originale attendue par le public et les fans de Grease, tout en présentant une comédie musicale qui soit compréhensible et qui exploite la richesse du livret. Mais ça a été un vrai débat : par exemple sur le numéro d’ouverture (« Grease is the word »), on a eu deux versions jusqu’à la fin, le choix s’est vraiment fait au dernier moment.
Yanis : En effet, il y avait une très bonne traduction française qui nous aidait même, en tant qu’artistes, à saisir et transmettre l’émotion : on parle de révolution, de nouvelle génération… pour des gens comme moi pas du tout bilingues, ça aidait vraiment de le faire en français. Finalement on a préféré ouvrir le show avec le générique que tout le monde a en tête et qui joue beaucoup sur l’effet nostalgique de Grease.
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On vous a tous les deux vus dans Cats, vous êtes donc des familiers du Théâtre Mogador. Après le traumatisme de la dernière saison [ndlr : annulation de la production du Fantôme de l’Opéra suite à un incendie], qu’est-ce que ça vous fait de « ré-ouvrir » ce théâtre ?
Yanis : Il y a une prise de conscience énorme de la violence de ce qui s’est passé. On a beaucoup d’amis qui jouaient dans Le Fantôme de l’Opéra, et quand j’imagine ne serait-ce que deux secondes qu’on m’enlève tout ça là, la veille de la première… l’idée de ne pas pouvoir montrer tout ce pour quoi on a travaillé, ça fait vraiment réfléchir.
Emmanuelle : Ça m’a beaucoup émue aussi. Le Mogador, quand on y passe un an, ça devient vraiment la maison : on y passe énormément de temps pour les répétitions, les spectacles, on connait tous les recoins du théâtre, c’est comme la famille. J’étais à l’étranger quand ça s’est passé, et de revenir et voir une aventure si prometteuse complètement avortée, de voir les équipes effondrées, c’était très dur. Réinvestir les locaux est devenu d’autant plus important pour nous, il y a une vraie responsabilité de faire revivre le lieu et de redonner du plaisir au public.
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Bon, terminons sur une note plus joyeuse. Les costumes ont une grande importance dans Grease : ils sont nombreux, très travaillés, et tous les personnages ont une identité vestimentaire marquée. Quels sont vos tenues préférées ?
Yanis : Le costume du bal ! Il me fait ressembler à un mafieux (rires). Et puis mon peigne. Je l’ai rajouté à tous les tableaux sans qu’on me le demande, c’est vraiment devenu mon accessoire fétiche, mon porte-bonheur.
Emmanuelle : Pour moi, sans aucun doute, c’est mon costume d’ouverture : un top noir avec un grand col relevé, une jupe crayon noire et la veste des « Pink Ladies ». C’est vraiment le costume emblématique de Rizzo ! Il ressort du fait qu’il soit vraiment sombre par rapport aux autres, exactement comme elle. C’est vraiment celui qui me permet de rentrer dans le personnage. Et accessoirement c’est le plus sexy (rires) !
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Alexandre Faitrouni (Eugène)
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MA : Vous jouez Eugène, un rôle qui apparait très décalé de cet univers d’adolescents beaux et rayonnants : comment vivez-vous le fait d’incarner ce personnage ?
Alexandre : En effet, Eugène est à l’opposé de tout ça (rires) ! Ça me va très bien de l’interpréter, c’est ce qui m’amuse le plus en fait. Au bout d’un moment, quand on fait ce métier, on commence à savoir quel peut être notre emploi, ce qu’on dégage sur un plateau, et j’ai bien compris que les rôles de jeunes premiers, c’était pas pour moi (rires). Et je suis ravi de défendre ça ! Je cherche toujours à mettre mon énergie dans les rôles que je tiens, et j’ai la chance d’avoir trouvé en Eugène un personnage qui m’amuse beaucoup. C’est un rôle en décalage, comme le sont toutes nos scènes avec Céline Groussard (Miss Lynch) : on est dans des petites bulles, des apartés où on a la chance de pouvoir défendre deux clowns.
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Et du coup, quelle est la force d’Eugène dans cette comédie musicale, qu’apporte-t-il ?
Alexandre : C’est délicat de parler d’Eugène sans parler de Miss Lynch… ce sont vraiment des bulles hilarantes où les gens peuvent un peu respirer dans l’histoire qu’est Grease. Eugène apporte le répondant que peut avoir un clown face à un autre : on se répond beaucoup avec Céline, il y a beaucoup de tac-au-tac, pas mal d’impro aussi, et c’est ce qui fait que ça fonctionne ! Et puis, il faut toujours un personnage plus moche que les autres, à qui l’on met les costumes que personne n’a voulu mettre… et ben cette année c’est moi (rires).
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Vous êtes formé au chant, au théâtre et à la danse. Dans le film, Eugène est assez peu présent, on le voit peu au final : comment avez-vous trouvé votre place dans cette production ?
Alexandre : On a la chance dans ce spectacle d’avoir beaucoup de numéro dansés, et où tous les moments dansés sont des moments de groupe : Eugène est intégré à tous les ensembles. Ce qui est génial aussi dans cette production, c’est qu’on a développé les rôles de Miss Lynch et Eugène, et qu’on a même notre petit moment chanté sur l’hymne de Ridell ! Dans Grease on est tous ensemble, il y a une vraie force de groupe : ça ne marcherait pas autrement.
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On vous a déjà vu au Théâtre Mogador comme Le Fou dans la Belle et la Bête, aux côtés d’Alexis Loizon qui jouait Gaston. Vous étiez aussi avec lui au cours Florent. C’est donc une association qui dure et qui marche ?
Alexandre : Avec Alexis, ça fait dix ans qu’on se connait. Les deux productions de Stage Entertainment auxquelles j’ai participé, c’était avec lui. Se retrouver sur Grease c’est assez drôle, on a même glissé un petit hommage à La Belle et la Bête à un moment du spectacle ! C’est toujours plaisant de retrouver ses amis sur scène, et c’est le cas pour beaucoup des artistes sur Grease : on est vraiment une belle bande, beaucoup d’entre nous se connaissaient avant.
Ce qui fait la richesse de ce « cast », c’est qu’il y a différentes générations d’artistes, différentes personnalités, différents corps, différentes expériences ! Et ça colle bien à Grease et au Lycée Ridell : il y a toujours de tout dans une école, et tout le monde a sa place, ce casting représente bien ça.
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Y a-t-il eu une pression particulière par rapport au film, que tout le monde connait, ou par rapport à votre retour au Théâtre Mogador ?
Alexandre : Pas tant par rapport au film non, puisque Eugène y est relativement peu développé, et que l’on a vraiment eu la liberté de créer notre personnage, ce qui était top.
Il y a eu davantage de pression par rapport à la réouverture du Mogador, à l’attente des spectateurs par rapport aux productions qui y sont présentées, et à notre responsabilité sur la qualité de ce qu’on propose chaque soir. Et même de ce qu’on a envie de réaliser, nous, sur scène ! En tant qu’artiste, j’ai besoin de me surpasser, de m’amuser. Le principal est que je sois content de mon travail et que les gens passent un bon moment. Mais on avait en effet cette pression de se dire qu’on réouvrait cette salle emblématique.
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Que diriez-vous aux gens qui connaissent par cœur le film, et qui hésiteraient à venir voir Grease « en live » ?
Alexandre : Qu’ils vont retrouver le film sur scène, et puis que le côté live est très intéressant. On a la chance d’avoir les musiciens avec nous sur scène tous les soirs, qui font partie intégrante du spectacle. C’est une première au Mogador ! La mise-en-scène s’y prête, et ça nous donne une énergie très différente : l’orchestre n’est pas en-dessous de nous dans la fosse, mais avec nous. On se sent vraiment portés, c’est très plaisant. On manque souvent de budget pour avoir autant de gens sur un plateau, c’est assez exceptionnel de voir ça aujourd’hui. Rien n’enlèvera la qualité d’un spectacle avec un orchestre live. Les fans du film s’y retrouveront, les fans de comédie musicale s’y retrouveront, et tous les amateurs de grands spectacles trouveront leur bonheur ! C’est vraiment le spectacle « feel good » du moment.
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Et pour finir : votre costume préféré ?
Alors mon petit moment « clou du spectacle », c’est quand j’enfile ma tenue de sport un peu atypique… mais je n’en dirai pas plus ! Au-delà de ça, j’aime beaucoup mes costumes à base de pantalons quadrillés, nœuds papillons et petit pull en col V. Même dans ses tenues, Eugène est vraiment à part !
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Sébastien Lemoine (Vince Fontaine / Teen Angel)
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MA : Quel est votre rapport avec Grease ?
Sébastien : Un rapport fantastique ! J’étais, je pense, le seul de la troupe à être né quand Grease est sorti (rires), j’ai adoré le film comme les millions de gens qui l’ont vu au cinéma à cette époque là. Ça représente la jeunesse, la joie, la musique… et en ces temps un peu moroses, c’est de choses comme ça dont on a besoin.
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Vous êtes un peu le grand frère de la troupe, est-ce que ça vous donne une responsabilité supplémentaire, un rôle de consultant ?
Sébastien : Pas du tout, au contraire, je ne me permettrais pas d’endosser ce rôle : ce serait manquer de respect aux membres de cette troupe. Ils sont tous très aboutis en tant qu’artistes, je suis extrêmement admiratif de chacun des vingt-sept autres artistes de cette production. Ils ont tous des niveaux exceptionnels dans tous les domaines de la comédie musicale, danse, chant et théâtre !
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Vous interprétez Vince Fontaine et Teen Angel, qui sont tous les deux des figures très décalées par rapport au reste de la comédie musicale. Quel a été votre rapport à ces rôles ?
Sébastien : Y a à la fois un plaisir et un déplaisir. Le grand plaisir, c’est la richesse de la partition, surtout pour Teen Angel. Moi qui suis un grand fan d’Elvis Presley et de Johnny Halliday, c’est un bonheur de chanter du rock’n’roll et de me prendre pour eux sur scène. Y compris dans le revers de leurs personnalités, leur part d’ombre, leur côté pas toujours très recommandable…
Le déplaisir, qui est modéré, c’est celui de ne pas totalement faire partie de la troupe. On retrouve un peu ça chez Miss Lynch, mais qui elle a tout de même un moment un peu « one woman show » : nous sommes des personnages un peu en dehors de l’histoire, c’est assez délicat à gérer. On vit par procuration tous les numéros très jouissifs, que tout le monde connaît : on a évidemment envie de chanter, de participer !
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Vous avez d’abord été chanteur d’opéra, puis avez fondé et fait partie des « Stentors » (groupe de reprise de grands titres de la variété française dans un style lyrique), vous êtes aussi comédien : la comédie musicale est un nouveau grand écart artistique, comment expliquez-vous votre carrière si versatile ?
Sébastien : C’est vrai que ma carrière est un exemple d’éclectisme. C’est parce que je suis comme ça, je ne me limite pas à un art ou à une manière d’interpréter quelque chose. Après ma carrière de chanteur d’opéra, rien ne me prédestinait à devenir un chanteur de variété (même si c’est avec des voix et arrangements lyriques), et fonder « Les Stentors » était un pari assez audacieux et une aventure fabuleuse que je ne regrette absolument pas. La Chanson, ça a été mon premier amour.
On passe d’un style à l’autre assez facilement en fait, si on s’y intéresse et qu’on se donne les moyens. Il y avait mille personnes pour cette audition, donc il ne faut pas arriver en disant « tiens, j’aimerais bien faire ça ! ». Il faut se préparer, comme pour tout. J’aime autant une comédie musicale comme Grease que des mélodies de Jacques Ibert, un oratorio de Bach ou une chanson de Johnny Halliday ! Pour moi il n’y a aucune forme supérieure à une autre, simplement des manières différentes mais tout aussi passionnantes de raconter des histoires. Si l’histoire est bonne, quelque soit la manière de la raconter, ce sera un plaisir ! Tant qu’on peut le faire et qu’on a les capacités de changer de style, il n’y a aucune raison de se priver.
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Et pour terminer : des différents costumes tous très « flashy » que vous êtes amené à porter, lequel serait votre préféré ?
Sébastien : Celui de Teen Angel, définitivement. Avec les chaussures à paillettes, c’est totalement Elvis et Las Vegas ! J’adore les costumes, un travail vraiment fabuleux a été fait. Et puis le numéro de Teen Angel est génial, l’adaptation de Nicolas Engel est absolument délicieuse.
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Grease, de Jim Jacobs et Warren Casey
À partir du 28 septembre 2017
Au Théâtre Mogador
25 rue de Mogador, 75009 Paris
Livret, paroles et musiques : Jim Jacobs ; mise en scène : Martin Michel, assisté de Véronique Bandelier, metteur en scène résidente.
Avec : Alexis Loizon, Alyzée Lalande, Emmanuelle Nzuzi, Véronique Hatat, Céline Groussard, Alexandre Faitrouni, Florie Sourice, Astou Malva Gueye, Sarah Manesse, Yanis Si Ahmed, Doryan Ben, David Sollazzo, Jérémy Petit, Luna Chiquerille, Emmanuelle Guelin, Alexander Wood
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