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Musical Avenue : Peux-tu te présenter au public français qui te connaît peu?
Nicolas Archambault : Je suis Nicolas Archambault, Je suis de Montréal, québécois, canadien. Je suis danseur, chorégraphe, metteur en scène, réalisateur, producteur… J’ai commencé a danser à Montréal, puis au Canada. J’ai fait une émission un peu connue qui s’appelle « So You Think You Can Dance » que j’ai gagnée avec beaucoup de chance. Et ensuite, j’ai continué à travailler sur l’émission comme chorégraphe et comme juge. Puis j’ai travaillé comme danseur pour des artistes underground, des un peu moins underground et des un peu connus aussi comme Madonna, Janet Jackson… J’ai eu la chance de faire un peu de films et de télévision. Et je suis venu à Paris travailler comme juge sur la version française de « So You Think You Can Dance » où j’ai rencontré très brièvement Fauve pour la première fois. Et bien, je suis de retour pour plus d’un an, pour jouer le rôle de Tony Manero, popularisé par John Travolta dans le célèbre film Saturday Night Fever ( La Fièvre du samedi soir en français, ndlr)
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Comment tu te sens à l’idée de prendre la relève, en quelque sorte, de John Travolta ?
N.A. Il ne faut pas que je me dise que je prends la relève de John Travolta, parce qu’après c’est une pression incroyable ! C’était une force de nature. C’est ce rôle qui l’a propulsé à l’échelle internationale et qui l’a établi comme l’acteur et le sex-symbol qu’il était à l’époque. Donc je me dis plutôt que c’est un bon spectacle avec une équipe incroyable, et je vais pouvoir remettre un peu au goût du jour le personnage et rappeler aux gens qui était Tony Manero parce qu’on l’a tous oublié. On se rappelle de sa danse, de la musique, des petits mouvements de poignets et de bassin. Mais on se rappelle très peu d’où il vient, de qui il est, de ce qu’il vit à travers le film. Il y a deux minutes de danse mais il y a une heure et demie de drame en fait ! Et proposer une nouvelle version, mais quand même très inspirée de John Travolta, parce qu’il était très inspirant!
Est ce que « La fièvre du samedi soir » est un des films qui t’a donné envie de faire de la danse ?
N.A. Un peu. Une fois mon intérêt pour la danse déjà établi, je me souviens que mon père s’est mis à me faire voir tous les films de danse qui existaient ! Donc évidemment dans les premiers, il y a eu Saturday Night Fever et la suite Staying Alive. J’en garde un souvenir assez vague, mais je me souviens d’une impression de swag, d’attitude très brute, cassée, pas dans un moule. Cette approche très instinctive à la danse me plaisait, mais le ballet classique me faisait peur. Et ça a eu une influence sur toute ma carrière après.
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Tu n’as donc pas commencé par la danse classique ?
N.A. J’ai commencé par le ballet jazz, les claquettes, le moderne, le contemporain. C’est à ce moment là que j’ai décidé que je voulais être danseur, tout ce mélange d’émotions qui se mêle à la danse m’a pris par surprise et m’a emporté. Et ensuite, pour être meilleur et avoir la meilleure technique, je me suis mis au ballet classique. Après ça a été le Hip-hop, que j’ai commencé en France d’ailleurs ! Paris est une très belle scène de Hip-hop !
Et côté comédie, as-tu une formation, une expérience, une appréhension du spectacle ?
N.A. Je n’ai pas de formation. Mais ce qui arrive quand on est un visage public connu, plein de tâches connexes vous sont proposées. Donc après « So You Think You Can Dance », j’ai eu des offres pour jouer dans des films, des séries, ou pour être juge ou animateur. J’ai beaucoup appris à travers les vrais acteurs avec qui j’ai travaillé sur ces projets. J’ai fait des petites formations pour m’aider à l’approche de Saturday Night Fever, mais c’est ce qui m’intéressait dans le défi de ce spectacle. J’ai fait des tournages, donc être sur scène c’est une autre approche, une autre technique. Il n’y a pas de prises, de plans de caméra. On ne reprend rien, mais une projection de voix, une dynamique, un rythme à maintenir. Ma formation va continuer jusqu’à la première avec un coach, parce que je veux bien le faire, et être à la hauteur des attentes de mes collègues sur scène en premier lieu, pouvoir bien leur rendre leur talent et leur énergie, et bien sûr celle du public !
Découvrez le nouveau clip de Saturday Night Fever avec Fauve Hautot et Nicolas Archambault sur « Staying Alive »
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Saturday Night Fever – La Fièvre du Samedi Soir
Au Palais des Sports de Paris à partir du 9 février 2017
34 Boulevard Victor
75015 Paris
puis en tournée dans toute la France jusqu’au 27 Janvier 2018
Adaptation : Philippe Hersen ; Productions : Gilbert Coullier, Roberto Ciurleo, Robin Production ; Mise en scène : Stéphane Jarny ; Scénographie : Stéphane Roy
Avec: Fauve Hautot, Nicolas Archambault, Flo Malley, Stephan Rizon, Gwendal Marimoutou, Fanny Fourquez, Vinicius Timmerman
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